Les différentes stratégies de diversification

14/02/2014 14:27

LA DIVERSIFICATION

Disney intervient dans de nombreuses catégories, celles qu’on connait tous comme les dessins animés, des revues, les parcs d’attractions puis les magasins, mais aussi celles qui sont moins connues telles que les croisières, les clubs de vacance enfin les spectacles.

 

« Laugh-o-grams » est le premier studio d’animation qui a était inauguré en février 1922 ensuite a suivie la création de cour métrages puis de long enfin de dessin animés trois mois après la sorti de Mickey, suite au succès Walter Disney est récompensé d’un Awards spéciale Mickey Mouse en novembre 1932. En décembre 1937 a eut lieu le réalisation de blanche et les sept nains qui, a gagné le trophée d’art a Venise en aout 1938. Le succès des courts et longs métrages sont gratifié en une seule soirée de plusieurs oscars en mars 1954.

D’après un sondage de 50 personnes adolescentes qui permet d’appuyer cette affirmation, nous avons observé que quand nous abordons la notion de Disney 84 % des personnes sondées pensent aux dessin-animés et pour les 16% restant ce sont les parcs d’attraction, pourtant ils préfèrent y aller que de regarder un dessin animé cela s’explique par le fait que les personnes ont entre 16 et 18ans.

Mais peu de personnes pensent au livres car ils sont tirés des dessins animés et qu’ils ont déjà put voir au cinéma ou en DVD d’autres les lisent pour comparer le film avec le livre. Ils existe aussi des revues qu’il existe des épisodes racontant les aventures du héros de dessins animé (exemple : picsou) diffusés a la télévision. Plusieurs chaines sont dédié a Disney comme Disney chanel, le groupe des chaines ABC et AB family, Walt Disney télévision international, Walt Disney télévision animation et Disney ABC worldwide télévision.    

Les magasins sont omni présent dans les agglomérations, il existe aujourd’hui des sites en ligne (exemple : Disney store) pour passer commande ce qui facilite les accès et son expansion sur les réseaux  montre sa popularité au prés de la population. Ces chaines de magasins proposent des produits dérivés des films : peluches, déguisements, matériel scolaire, vêtement, chaussures, accessoires, ustensile de  maison, produits à collectionner, DVD, livre, jeux video, musique. Disney home, Disney toys, Disney stationery, Disney food health & beauty, Disney apparel et accessories & footwear sont des lignes de biens annexes. Les jeux vidéo sont fabriqués par Disney interactives studios, des maisons édition Disney comme Marvell comics, Disney publishing worldwide.

Les catégories moins connues du public mais tout autant appréciées de la population sont, des agences de voyage dirigées par Disney, qui propose ses services pour organiser des parcours à thème pour découvrir en famille, des hébergements, des repas et des visites, a travers le monde. Disney propose aussi des croisières (Disney cruise line) qui permettent un divertissement et une aventure conçus pour toute la famille en mer ou océan avec a l’arrivé un hôtel et un parc animé de spectacles et animation. Mais aussi sur terre avec des activités en groupe guidés pour découvrir et se cultivé.

 

Disney se diversifie dans plusieurs catégorie, pour toucher le plus de monde, plus le choix est large plus l’individu fait son propre choix de découverte.

 

DIVERSIFIER LA CLIENTELE

 

Parmi les challenges que se fixe Disneyland Resort sur la cible des particuliers, figure la volonté de capter l'attention des ados et des jeunes adultes. Dans cette optique, la Fnac et les Walt Disney Studios ont organisé, en octobre dernier, à l'occasion d'Halloween, une «Terrorific Night», un événement dédié. Disneyland fait aussi jouer les associations afin d'augmenter le trafic sur son site. En effet, la clientèle se voit proposer des offres l'incitant à revenir en famille. Côté ventes directes, le site internet devient de plus en plus présent et réalise près d'un quart des « booking » individuels. En ce qui concerne les packages, la proportion traitée via le canal web dépasse 50%. En outre, le site favorise la démarche multicanal dans la mesure où il génère un certain nombre de contacts au centre d'appels. A noter que la commercialisation de billets s'effectue aussi directement à l'accueil des parcs.

La clientèle de Disneyland Resort se compose essentiellement de familles avec enfants dont l'âge est compris entre 0 et 15 ans. Ce sont donc la plupart du temps des amateurs de parcs à thèmes et autres destinations de loisirs. A noter que les visiteurs disposent d'une forte affinité avec la marque Disney qui les pousse régulièrement à exprimer leur intention de revenir sur les sites. Si cette cible peut, en apparence, paraître homogène, Disneyland a fait le constat que les attentes d'une famille espagnole ne sont pas les mêmes que celles d'une famille francilienne qui diffèrent elles-mêmes de celles d'une famille allemande.

En 2011, les produits dérivés des films représentent 816 millions de dollars de bénéfices, ce qui est plus que les films eux-mêmes, qui n’en rapportent « que » 618 millions. La plus grosse part des bénéfices de Disney provient des parcs d’attractions et de Disney Media Networks. Le projet Global Disney Audiences Project a trouvé que sur les 1250 jeunes adultes (de 18 pays différents), 98% avaient vu au moins un film Disney. Une des questions posées demandait quels mots iles associaient à Disney. Les réponses évoquaient le plus souvent les mots « joie », « bonheur », « fantaisie », « imagination », et « famille ».

Une telle commercialisation de la marque Disney touche en premier les enfants, Walt Disney dévoile une fascination pour l’éducation  et pensait que ce serais un bon investissement de ce lancer dans ce domaine.

Parmi les challenges que se fixe Disneyland Resort sur la cible des particuliers, figure la volonté de capter l'attention des ados et des jeunes adultes. Dans cette optique, la Fnac et les Walt Disney Studios ont organisé, en octobre dernier, à l'occasion d'Halloween, une «Terrorific Night», un événement dédié. Disneyland fait aussi jouer les associations afin d'augmenter le trafic sur son site. En effet, la clientèle se voit proposer des offres l'incitant à revenir en famille. Côté ventes directes, le site internet devient de plus en plus présent et réalise près d'un quart des « booking » individuels. En ce qui concerne les packages, la proportion traitée via le canal web dépasse 50%. En outre, le site favorise la démarche multicanal dans la mesure où il génère un certain nombre de contacts au centre d'appels. A noter que la commercialisation de billets s'effectue aussi directement à l'accueil des parcs.

La clientèle de Disneyland Resort se compose essentiellement de familles avec enfants dont l'âge est compris entre 0 et 15 ans. Ce sont donc la plupart du temps des amateurs de parcs à thèmes et autres destinations de loisirs. A noter que les visiteurs disposent d'une forte affinité avec la marque Disney qui les pousse régulièrement à exprimer leur intention de revenir sur les sites. Si cette cible peut, en apparence, paraître homogène, Disneyland a fait le constat que les attentes d'une famille espagnole ne sont pas les mêmes que celles d'une famille francilienne qui diffèrent elles-mêmes de celles d'une famille allemande.

 

 STATEGIE PROXIMITE

Pour aller à Disneyland Paris

L’accès à Disneyland Paris est en constante amélioration : le parc a fait de nombreux efforts pour faciliter le transport. La qualité du réseau autoroutier de l'est parisien fait de Marne-la-Vallée une localisation de première qualité pour accéder à l'ensemble de l'Ile-de-France : 75 % du territoire urbanisé de l'Ile-de-France est situé à moins de 30 minutes de Marne-la-Vallée. Puis d’autres accès ont été créés : l’Eurostar, la gare TGV de Marne la Vallée/Chessy en sont des exemples. Ce réseau de transport très développé a facilité et stimulé les  flux touristiques.

 

 

Depuis les années 1990, cette firme s’est diversifiée en s’engageant dans les médias, la production numérique, le tourisme (= voir loisir marquee par une forte distinction sociale) et en devenant même promoteur immobilier dans le périmètre de ses parcs d’attractions.

Quand il devient urbaniste(=amménagement et ordonance des villes), le groupe Disney propose un ensemble de produits immobilier qui opèrent une fusion entre la standarisation du lottissement residentiel et les espaces urbains idéalisés par des parcs de loisirs : l’espace public fait l’objet d’une veritable scénographie.

Exemple: ville de Célébration en Floride créer en 1994 par Disney corporation (ville entire qui peut reçevoir à terme 20000 habitants).

Cette privatisation de la ville et de ses espaces publics dérive du modèle du parc a thème, où chaque element de la ville fonctionne désormais comme un espaces ludique (=jeux), payant, associant loisirs de consommation de masse. (Dans les parcs Disney, Main steet représente la grande rue des baings d’antan. Ce motif est désormais recurrent (=répétitif) dans l’architecture des centre commerciaux d’aujourdhui).

Après la Guerre Froide, une autre forme de propagande est utilisée par Walt Disney: la propagation des parcs Disneyland. Le choix d’implanter les parcs à thèmes, en France, au Japon, et en Chine, sur le modèle de celui déjà implanté en Floride aux Etats-Unis, n’a pas été pris à la légère. En effet la France, la Chine et les Etats-Unis étant les pays de la Triade, ils ont su s’implanter dans des pays qui dominent le monde.

Autour du parc à thème de Paris, sont installés de nombreux hôtels à l’image de l’Amérique comme nous le montrent leurs couleurs et leur architecture. De plus les noms des quartiers tels que Adventureland, Fantasyland, Main street U.S.A sont en anglais ce qui prouve une acculturation présente et pesante. Malgré tout ces défauts le parc Disneyland Paris est la première destination des touristes.

 

 

Disneyland Paris est situé à environ 32 km de son par cet bénéficie d’une facilité c’accès grâce a de multiples transports :

Le RER A dessert le Site en deux points : la station de Marne-La-Vallée/Chessy, située juste à côté de l’entrée

Des Parcs à Thèmes, et la station de Val d’Europe, qui permet un accès direct au centre commercial et

Résidentiel de Val d’Europe .de plus, un réseau autoroutier qui relie en moins d’une heure le Site à la capitale et à ses deux aéroports internationaux. Mais aussi la gare TGV de Marne-La-Vallée/Chessy située dans l’enceinte même du Site qui est l’une des plus actives de France et la plus grande plate-forme de correspondances TGV du pays. Cette gare dessert la plupart des grandes métropoles françaises et assure la liaison entre Disneyland Paris et le Royaume-Uni, la Belgique, l’Allemagne et la Suisse. Elle est desservie par l’Eurostar et le TGV.

Cette implantation géographique permet l’accès à un marché d’approximativement 300 millions de

visiteurs potentiels résidant dans un rayon de deux heures via les différents transports pour rejoindre le Site.

 

 OFFRE TARIFIAIRE OFFRE ECONOMIQUE

 

L’implantation de Disneyland Paris à Marne-la-Vallée est un moteur de croissance incontestable faisant passer la population du Val d’Europe de quelques centaines à près de 30 000 habitants en 20 ans. Elle constitue un produit d’appel (= un produit vendu à un prix qui ne permet pas de profit mais qui peut induire des ventes dans le même commerce ou la même chaîne.) qui est intéressant pour les entreprises, y compris celles qui ne sont pas en relation directe avec Disneyland Paris. Ainsi, de grands groupes tels que Bic ou encore la filiale de la société Canon, Océ France, se sont implantés sur ce territoire attractif. Les perspectives de développement devraient se poursuivre au même rythme et conduire à un doublement de la population et du développement économique dans les vingt prochaines années.

Les chiffres d’affaires de 2012 :

37 175 millions d’euros pour le Walt Disney Studio Entertainement.  

2 252 millions d’euros pour les produits de consommation Disney.

89 220 millions d’euros pour les parcs à thèmes.

141 227 millions d’euros pour les activités de Walt Disney Company liés à la communication et aux medias.

6 284 265 euros pour le groupe internet, les sites web.

Ce qui fait un totale de 312 354 millions d’euros.

 

20 ANNÉES DE CONTRIBUTION EN CHIFFRES :
 

- 250 millions de visites
- 50 milliards d’euros de valeur ajoutée à l’économie française
- 59 milliards d’euros dépensés en France par les visiteurs de Disneyland Paris à l’occasion de leur visite
    > dont 37 milliards d’euros dépensés en France par les visiteurs étrangers de Disneyland Paris
    > soient 6.2 % du total des recettes en devises du tourisme en France
- 7 milliards d’euros d’investissement
- 55 000 emplois générés chaque année
- 1 emploi de Disneyland Paris a généré près de 3 emplois ailleurs en France
- 5e pôle hôtelier en France
- Près de 5 % des 76.8 millions de touristes venus en France ont visité Disneyland Paris en 2010
- 9.4 % du total des nuitées hôtelières d’Île-de-France, 69.5 % pour la Seine-et-Marne en 2010

En dix ans, le chiffre d'affaires du groupe a été multiplié par dix et a atteint 22,5 milliards de dollars (135 milliards de francs) en 1997.

Disney est devenu le deuxième groupe mondial de communication, juste derrière Time Warner et loin devant Bertelsmann.
Il a accomplis grâce a la croissance interne, grâce au développement des deux activités phares qui sont les parcs à thème et les productions d'images et la réussite d'activités nouvelles comme la vente de cassettes vidéo, la distribution de produits dérivés dans la chaîne de magasins Disney Store ou l'édition de magazines pour enfants.
 

En 1995, le développement a été accéléré par une opération de croissance externe, qui est grâce a la diversification verticale c'est a dire, par exemple, le rachat du groupe Capital Cities-ABC pour 19 milliards de dollars.
En acquérant ABC, le troisième réseau américain de télévision hertzienne c'est a dire qui a pour trait aux ondes électromagnétiques (derrière NBC et CBS), le producteur Disney est devenu diffuseur.

 

Aujourd’hui, le parc Disneyland Paris est la première destination touristique en Europe, et le nombre de visiteurs est d’environ 14,5 millions par an (chiffre 2007).Le nombre croissant de visiteurs du parc participe à la popularité du parc, et à l’augmentation du chiffre d’affaire de celui-ci, la vente des billets ne représente plus que la moitié du chiffre d’affaire des grands parcs l’autre moitié provient des consommations sur place (restaurants et achats dans les magasins).

Les résultats nets annuels de la Walt Disney Company concernant les parcs ont été multipliés pas 2,5 entre 1998 et 2009, bien que l’entreprise ait connu des crises et des années moins bonnes que d’autres.

 

En 2001 le parc avait fait des profits de 30.5 millions d’euros. En 2002 le parc connaît de grosses difficultés avec une dette qui s’élève à 33.1 millions d’euros. Cette dette s’est étendue en 2003 de 56 millions d’euros. Cependant cette dette est due en partie à la création du nouveau parc The Walt Disney studios qui a coûté 610 millions d’euros.

Entre 2001 et 2002 on constate une  diminution d’environ 13% du bénéfice, cependant l’entreprise a finalement surmonté cette crise ; le mouvement s’inverse et le bénéfice augmente de plus de 30% entre 2004 et 2008 en passant de  8 750 millions de dollars à 11 504.

Mais l’année 2009 a été marquante pour l’entreprise et met fin à cette période de croissance a cause de son bénéfice qui a reculé de 7% en passant de 11 504 millions de dollars en 2008 à 10 667 millions en 2009. Bizarrement, Disneyland Paris n’a jamais accueilli autant de monde (15,3 millions de visiteurs en 2008 contre 15,4 millions en 2009). Les habitudes de consommation ont été modifiées pas la crise. La consommation est un acte économique, la décision de individu est contraint de faire des choix qui dépend du prix, le consommateur achète davantage lorsque le prix est en baisse, et moins lorsqu'il augmente. Et du revenu, il ne peut pas consommer plus qu'il ne gagne donc il achète ce qui lui est vital.

 

Disney Land Paris fait environ 1 milliard d'euros de chiffre d'affaire par an, cette somme est répartit dans les parcs à thèmes (51% du chiffre d'affaire), 39% pour les hôtels et Disney village, 1% dans l'immobilier et 9% pour les autres. Le montant global des investissements de Disney Land Paris est de 3,5 milliards € privés c'est a dire caché et 412 millions d'euros qui ont été rendu publics entre 1989 et 1997. Puis jusqu’à 2003 il réalisé 1,5 milliard d'euros privés mais 122 millions d'euros publics. Enfin il annonce 100 millions d'euros mais en réalité il a fait 800 millions à 1,2 milliard d'euros. Les retombées fiscales, depuis 1992, sont de 864 millions € versés dont 461 millions d'euros à l’État et 403 millions d'euros aux collectivités locales.

 

 

Chiffre d'affaires annuel de la Walt Disney Company par division (1988 à aujourd'hui)
(En millions d'USD)

Année

Walt Disney Studios Entertainment[CA 1]

Disney Consumer Products[CA 2]

Walt Disney
Parks and Resorts

Disney Media Networks[CA 3]

Walt Disney Internet Group[CA 4] / Disney Interactive Media Group[CA 5]

Total

1988[268]

1 149

247

2 042

 

 

3 438

1989[268]

1 588

411

2 595

 

 

4 594

1990[268]

2 250

574

3 020

 

 

5 843

1991[269]

2 593

724

2 794

 

 

6 111

1992[269]

3 115

1 081

3 306

 

 

7 502

1993[269]

3 673,4

1 415,1

3 440,7

 

 

8 529,2

1994[270],[271],[272]

4 793

1 798,2

3 463,6

359

 

10 413,8

1995[270],[271],[272]

6 001,5

2 150

3 959,8

414

 

12 525,3

1996[271],[273]

10 095[CA 2]

4 502

4 142[CA 6]

 

18 739

1997[274]

6 981

3 782

5 014

6 522

174

22 473

1998[274]

6 849

3 193

5 532

7 142

260

22 976

1999[274]

6 548

3 030

6 106

7 512

206

23 402

2000[275]

5 994

2 602

6 803

9 615

368

25 402

2001[276]

7 004

2 590

6 009

9 569

 

25 790

2002[276]

6 465

2 440

6 691

9 733

 

25 360

2003[277]

7 364

2 344

6 412

10 941

 

27 061

2004[277]

7 713

2 511

8 750

11 778

 

30 752

2005[278]

7 587

2 127

9 023

13 207

 

31 944

2006[278]

7 529

2 193

9 925

14 368

 

34 285

2007[279]

7 491

2 347

10 626

15 046

 

35 510

2008[280]

7 348

2 415

11 504

15 857

719

37 843

2009[281]

6 136

2 425

10 667

16 209

712

36 149

2010[282]

6 701

2 678

10 761

17 162

761

38 063

2011[283]

6 351

3 049

11 797

18 714

982

40 893

2012[284]

5 825

3 252

12 920

19 436

845

42 278

 

En 1991, Disney faisait 6,1 milliards de dollars de recettes. Ce chiffre grimpe à 22 milliards de dollars en 1999, et, dix ans plus tard, à 37,8 milliards de dollars. Nous avons donc à faire à une entreprise en croissance explosive. En 2011, les produits dérivés des films représentent 816 millions de dollars de bénéfices, ce qui est plus que les films eux-mêmes, qui n’en rapportent « que » 618 millions. La plus grosse part des évoquaient le plus souvent les mots « joie », « bonheur », « fantaisie », « imagination », et « famille ».

L’économie des loisirs affiche une croissance huit fois plus forte que l’ensemble de l’économie. Cet indicateur place la Basse-Normandie au deuxième rang des régions françaises. La croissance de l’économie des loisirs est, elle-même, dopée par la construction de nouveaux équipements, privés ou publics (piscines, centres aquatiques…) et la diversification de l’offre (bases de loisirs, centres équestres, espaces fitness…). Phénomène que le recensement des équipements sportifs réalisé par le ministère de la Santé, de la Jeunesse et des Sports met aussi en évidence.

La multiplication des équipements stimule à son tour le développement des entreprises spécialisées dans leur gestion, que ce soit dans le sport ou les loisirs, et notamment celles qui interviennent dans le cadre de délégations de service public.

 

Le billet d’entrée représente une partie importante du budget des individus consacré à la visite de Disneyland Paris.

Bénéfices de Disney provient des parcs d’attractions et de Disney Media Networks (division qui regroupe les activités de la société liées à la communication et aux médias).

 

Le projet Global Disney Audiences Project a trouvé que sur les 1250 jeunes adultes (de 18 pays différents), 98% avaient vu au moins un film Disney. Une des questions posées demandait quels mots ils associaient à Disney. Les réponses

Il y a plusieurs facteurs qui influencent le prix du billet, en premièrement la date d’achat : plus on achète le billet tôt (10 jours avant) plus il est avantageux. Aussi il y a le billet Francilien qui est le billet d’entrée qu’il faut acheter avant les 5 jours qui est avantageux en semaine et en dehors des vacances scolaires aussi mais moins que le billet ‘’plus tôt’’. Sinon après les 5 jours le prix du billet est plein.

Mais celui-ci dépend aussi du nombre de parcs que l’on veut visiter car à Disneyland Paris il y en a 2. Si l’individu veux aller au deux parcs il payera évidement plus cher que si il va que a un parc.